Peintre-verrier et écrivain, Edouard Didron reprend en 1867 l’atelier de vitraux de son oncle Adolphe Didron (Schio, 2015, p. 46). On possède peu d’informations concernant l’activité de cet atelier, dans lequel ont été réalisés les vitraux de nombreuses églises parisiennes, comme celle de Saint-Louis-d’Antin en 1882 (Mairie de Paris, Direction des affaires culturelles, 2008). A Genève, il réalise en 1894 un vitrail pour la cathédrale Saint-Pierre, verrière qui remplace celle réalisée par Berbig sur le thème de saint Pierre, et qui est déplacée en face (Sauterel, 2008, p. 78).
Mairie de Paris, Direction des affaires culturelles. (2008, août). Vitraux parisiens : Les balades du patrimoine. Récupéré le 20 février 2015 du site de la Mairie de Paris : www.paris.fr/viewmultimediadocument?multimediadocument-id=31705
Schio, J. M. (2015). Essai sur le patrimoine de Beaufort en Vallée : L'église Notre-Dame. Paris, France : BoD-Books on Demand.
Sauterel, V. (2008). Les vitraux genevois entre 1830 et 1900. Dans L. Borel (dir.), Emotion(s) en lumière : le vitrail à Genève (p. 52-94). Genève, Suisse : APAS Association pour la promotion de l'art sacré : La Baconnière Arts.