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VMR_1331: Saint Matthieu (deux scènes du haut du vitrail) et Barthélémy (deux scènes du bas) du vitrail)
(FR_Romont_VMR_VMR_1331)

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Title

Saint Matthieu (deux scènes du haut du vitrail) et Barthélémy (deux scènes du bas du vitrail)

Type of Object
Artist / Producer
Dating
1942-1944

Iconography

Description

Cette maquette se compose de quatre scènes relatant deux épisodes de la vie de saint Matthieu (les deux scènes du haut) et deux épisodes de la vie de Barthélemy (les deux scènes du bas), avec, de haut en bas :
La vocation de saint Matthieu : le Christ, debout à droite, interpelle Matthieu, assis à son bureau de collecteur d’impôts, sur lequel se trouve une pile de pièces et un encrier, et l’incite à le suivre. En arrière-plan, un autre personnage portant des rouleaux assiste à la scène. Un seau contenant des rouleaux est posé au sol au premier plan à gauche, alors qu’un chien est couché sous la table à droite.
Le petit enfant au milieu des disciples : Jésus, debout à gauche, appelle à lui un petit enfant qui se tient devant lui au centre et le regarde. Trois disciples les entourent. Celui de droite, probablement Matthieu, semble en discussion avec le Christ et a les mains levées. Un autre, possiblement saint Jean, pose sa tête sur l’épaule du Christ, alors que le troisième à l’arrière-plan les observe.
La flagellation de Barthélemy sur ordre du roi Astyage : Barthélémy, debout au centre de dos, est fouetté par deux soldats. Un troisième, assis au premier plan en bas à gauche, est en train de lier les branches de son fouet avec une corde.
Translation des os de Barthélemy de l’île de Lipard à Bénévent, après qu’un moine eut rassemblé ses os dispersés par les envahisseurs Sarrasins : le corps de Barthélemy, soutenu par deux hommes, est remis au gouverneur de l’île de Bénévent debout à droite. A l’arrière-plan, deux bateaux voguent sur les flots.

Iconclass Code
73C7115 · calling of Matthew (Levi), the tax-collector (usually with money lying on the table and people paying taxes) (Matthew 9:9; Mark 2:14; Luke 5:27-28)
73C721311 · Christ calls a child and sets it in the midst of the apostles (disciples): 'unless you ... become like children'
73F2741 · Bartholomew is dragged before King Astyages by heathen priests, and scourged
73F2755 · removal of the relics of Bartholomew
Iconclass Keywords
Inscription

54 (en haut à gauche sur une étiquette)
S. BARTHELEMEUS (en bas, les “E” ont été tracés et remplacés par des “O”)

Signature

Aucune

Technique / State

State of Conservation and Restorations

Grandes déchirures, bord droit déchiré, taches, trous de punaises, scotch en bas. Deux projets indépendants partiels et déchirés collés ensemble avec un ajout esquissé au centre pour combler les lacunes.

Technique

Gouache, crayon

History

Research

Cette oeuvre graphique combine deux parties de maquettes pour deux des vitraux de la nef de l’église Saint-Pierre de Fribourg, l’un consacré à saint Matthieu et l’autre à saint Barthélémy. Les seize vitraux de la nef sont l’oeuvre de l’artiste Jean-Edouard de Castella et de l’atelier fribourgeois A. Kirsch & Cie.

Les deux vitraux correspondants à ces dessins n’ayant pas été créés en même temps, il est très curieux de les voir réunis sur une même maquette. En l’étudiant de plus près, nous nous rendons compte qu’une grande déchirure apparaît entre le bas du second épisode de Matthieu et la flagellation de Barthélemy. Il semble d’ailleurs qu’un un raccord ait été fait à cet endroit pour pouvoir réunir plus ou moins correctement ces deux parties discordantes. D’ailleurs, la facture du dessin dans cette zone est esquissée et maladroite, contrastant avec la précision du reste du dessin. Il est probable que ces deux parties de maquette aient été réunies ultérieurement et collées ensemble sur un carton, peut-être pour pouvoir être vendues.

L’église Saint-Pierre de Fribourg représente l’un des chantiers les plus importants pour le renouveau de l’art sacré dans le canton de Fribourg. Elle est construite entre 1928 et 1931 par l’architecte fribourgeois Fernand Dumas, membre phare du Groupe de Saint-Luc, gagnant d’un concours lancé en 1924 (Lauper, 2008a, p. 12, 19).
Le 27 mai 1931, dès la fin de sa construction, un concours est lancé pour sa décoration, véritable entreprise qui rassemble un grand nombre d’artistes et dont l’achèvement prendra plus de vingt ans (Lauper, 2008b, p. 27). Plusieurs membres du Groupe de Saint-Luc y prennent part, dont l’artiste toscan Gino Severini, et plusieurs artistes fribourgeois affiliés à la SPAS (Rudaz, 2008a, p. 32-33). C’est Severini qui est choisi pour la décoration générale de l’édifice. Mais dès le début, la collaboration avec la paroisse est difficile, et celle-ci cherche à limiter son mandat. Severini aurait voulu que ce soit Alexandre Cingria qui réalise les vitraux, mais les maquettes pour la mosaïque du retable de la chapelle du Christ-Roi que ce dernier présente en 1932 déplaisent (Rudaz, 2008b, p. 41). La paroisse confie donc le grand cycle des verrières de la nef à l’artiste fribourgeois Jean-Edouard de Castella, qui s’était spontanément proposé (Corpataux, Jordan, 1938). Le Conseil de paroisse invoque le manque de ressources et la promesse de dons liés au choix d’un artiste local. Fin 1938, l’artiste avait proposé, avec l’atelier Kirsch et Fleckner, d’offrir un vitrail (Castella et Kirsch, 1938), alors qu’un second le serait par sa parenté (Castella, 1938b). Le Fribourgeois Gaston Thévoz avait souhaité envoyer à la paroisse des croquis et un devis pour ces fenêtres et avait également proposé de donner un vitrail (Thévoz, 1938), mais son offre arrivait trop tard. Severini, qui déplore le choix de Castella, avec lequel il avait déjà dû collaborer à Semsales et dont il n’avait pas hésité à critiquer les qualités artistiques, le qualifiant de “peintre médiocre” (Radin, 2011, p. 32-33), demande à ce que seuls les deux vitraux offerts lui soient confiés et qu’ils soient placés dans la tribune où ils seront moins visibles (Severini, 1939). Mais la paroisse a déjà donné son accord à Castella, qui profite de la guerre et de l’absence de Severini pour concrétiser la réalisation de l’ensemble des verrières (Rudaz, 2008b, p. 39-42).
L’artiste réalise les vitraux en quatre étapes, de 1941 à 1945, qui dépendent des dons reçus par la paroisse. La dépense totale des vitraux se monte à 40’000 francs, couverte par différents bienfaiteurs (personnalités et familles locales), dont les armoiries se retrouvent au bas des vitraux (Arnaud et Pajor, 2008, p. 59-61).

Bien que le programme iconographique n’ait pas fait l’objet de discussions approfondies entre le Conseil de paroisse et l’artiste, chacune des seize verrières de la nef, comme l’avait suggéré Castella dès le début du projet (Corpataux, Jordan, 1938), illustre la vie d’un apôtre ou d’un évangéliste, en quatre épisodes tirés des Actes des apôtres et de la Légende dorée. Castella choisit pour ces scènes narratives une représentation superposée à lecture descendante, sans bordure décorative, dépeignant des silhouettes sur un fond coloré. Dès ses premiers dessins, Castella n’hésite pas à se détourner des teintes convenues pour les chairs, celles-ci étant, comme tout détail de son dessin, au service de la physionomie colorée de l’ensemble.
Au début du travail de Castella, il est question que huit sujets figurent sur chaque verrière (Castella, 1938a), avant de finalement opter pour quatre scènes suivant l’avis de Mgr Besson et Severini (Castella, 1940a). Ce choix permet d’assurer “la visibilité des scènes” (Castella, 1940b), l’artiste étant conscient très tôt que pour que celle-ci soit bonne, il lui faut créer “des formes bien explicites” (Castella, 1938a). Il soumet ses premiers croquis à Mgr Besson (Castella, 1939) et selon contrat, également à Severini et à l’architecte Dumas pour approbation (Corpataux, 1939). La sélection des couleurs est aussi essentielle. Severini lui conseille d’utiliser des tonalités chaudes pour les coloris dominants, mais bien contrastées avec les teintes froides pour donner une atmosphère de calme et de stabilité dans toute l’église (Severini, 1940). Castella suit son avis et conçoit ses vitraux en alternance, un vitrail aux teintes à dominante chaude étant suivi d’une verrière aux teintes plus froides (Castella, 1940c).

Après la pose de trois premiers vitraux en 1941, la décision de réaliser une deuxième série de quatre vitraux est prise en novembre de la même année (Corpataux, Jordan, 1941a). En juin, l’atelier A. Kirsch & Cie et Castella, envoient au conseil de paroisse un devis pour ces quatre verrières se montant à 3’500 francs par fenêtre, comprenant l’ensemble du travail allant des croquis de Castella jusqu’à la pose de chaque vitrail (Castella et Kirsch, 1941). La paroisse choisit d’illustrer saint Barthélémy, un donateur (Mgr Eugène Dévaud) souhaite un vitrail dédié à saint Jacques le Majeur, alors que le choix des deux autres apôtres fait l’objet d’une discussion entre la paroisse et l’artiste. Suivant les conseils de Severini, Castella décide de renoncer aux grands sujets centraux. La paroisse lui laisse dès lors toute liberté (Corpataux, Jordan, 1941a). Pour cette seconde étape, Les rouges et les bleus ne dominent plus. La palette de couleurs est plus riche et l’équilibre subtil entre les teintes chaudes et froides se fait non seulement dans chaque scène, mais aussi entre celles-ci.
Le vitrail consacré à saint Barthelémy, comme ceux illustrant la vie de Jacques le Majeur, Thomas et Philippe, est réalisé en 1942. Le Conseil d’État alloue une somme de 500 francs en faveur d’un vitrail via la Loterie romande (Corpataux, Jordan, 1941b). En début d’année 1942, Castella demande par écrit à la paroisse qu’une convention soit faite pour lui attribuer l’ensemble des cartons pour les fenêtres de nef et que leur réalisation soit confiée à la maison Kirsch (Corpataux, Jordan, 1942). Il explique que, durant les mois de collaboration étroite avec Kirsch, ils ont “fait venir de fabriques étrangères des quantités assez considérables de feuilles de verre dans les nuances exigées par les cartons” et ont “travaillé en parfait accord afin d’assurer la qualité de l’oeuvre”. Ils ont beaucoup appris ensemble et “les expériences acquises sur la luminosité, la patine et l’optique relative à la distance ont permis de garantir une unité d’ensemble”. “Risquer de vouloir modifier cette collaboration en milieu de travail” serait dommageable pour l’oeuvre (Castella, 1942b). La paroisse refuse de leur octroyer une convention écrite mais leur donne toutes les garanties morales pour leur assurer l’exécution de l’ensemble des vitraux de la nef (Jordan, Philipona, 1942a).
Durant les premiers jours de 1942, l’artiste annonce au président de paroisse Corpataux, que “le travail est bien avancé” et saisit l’occasion pour lui dire combien il lui est reconnaissant d’avoir contribué de façon si effective à lui procurer un pareil travail “qui est passionnant et qui est toute sa vie” (Castella, 1942a). Fin avril, le financement de trois des quatre vitraux est assuré (Jordan, Philipona, 1942b). Les familles Gyger et Garnier ainsi que le Cercle paroissial de Saint-Pierre y participent également (“Eglise de Saint-Pierre”, 1943a). Fin décembre, Castella annonce à Corpataux que “les quatre verrières sont terminées et qu’elles seront posées après la fête des Rois. Il lui dit avoir “spécialement soigné les coloris, profitant de l’expérience de la pose des premiers” (Castella, 1942c). Les vitraux sont posés le 17 janvier 1943.
Ce deuxième groupe de vitraux est à nouveau très bien accueilli et “confirme l’excellente impression produite par les premiers”, comme le souligne le quotidien La Liberté, qui ajoute que “L’artiste sert la cause de l’art sacré dans le domaine du vitrail avec une conviction profondément religieuse” (“Fribourg. Les vitraux de Saint-Pierre”, 1943b).

Le vitrail de Matthieu est posé en 1944, correspondant à la troisième étape de réalisation des vitraux. Peu de documents existent dans les archives de la paroisse concernant cette phase. La lecture des quelques lettres révèle que le souci principal de la paroisse est de trouver un financement. Elle fait pour cela appel à l’État de Fribourg, qui lui octroie un montant de 1’500 francs par le biais de la délégation fribourgeoise de la Loterie romande (Jobin et Rémy, 1943). La paroisse demande à l’État de verser un second montant afin qu’il finance une fenêtre entière (Jordan, 1943b, 16 novembre). Nous ne connaissons pas sa réponse, mais il semble qu’il ait répondu par l’affirmative, puisque les armoiries du canton en tant que donateur figurent au bas de la verrière consacrée à Simon le Zélote. Dans le courant de l’été, sur demande de la maison A. Kirsch & Cie, la paroisse dépose une requête auprès de l’Office cantonal du travail pour retarder l’ordre de marche d’Otto Kirsch pour le service obligatoire, spécialiste de la composition des couleurs, qui s’occupe des vitraux de Saint-Pierre. Elle justifie sa demande en expliquant que “son absence durant plusieurs mois retarderait considérablement le travail en cours et empêcherait de compléter la décoration de leur église” (Jordan, 1943a, 9 août). Les quatre verrières seront posées en 1944.

Cette réalisation à Saint-Pierre marque, avec le cycle de la chapelle Notre-Dame de la Paix à l’église Sainte-Thérèse de Genève (GE_84.22 ; GE_84.23 ; GE_84.24 ; GE_84.25 ; GE_84.26 ; GE_84.27 ; GE_84.28), exécuté en 1946-1947, l’apogée de la carrière du peintre-verrier fribourgeois. C’est non seulement l’une de ses réalisations les plus considérables du point de vue du nombre de verrières, mais c’est aussi un cycle verrier abouti, Castella ayant su allier avec beaucoup de finesse un trait fin, souvent réduit à l’essentiel, à un coloris très subtil où les teintes se juxtaposent dans une variation infinie de tons tout en proposant des contrastes forts permettant une mise en lumière des éléments essentiels de chaque scène. En 1949, l’artiste part à nouveau pour l’Australie et organise à cette occasion une exposition d’adieu dans son atelier fribourgeois. Il ne reviendra en Suisse qu’en 1962, quatre ans seulement avant son décès (Arnaud et Pajor, 2008, p. 56-57).

Dating
1942-1944
Period
1942 – 1944
Date of Receipt
?
Donor / Vendor

Inconnu

Owner

Vitromusée Romont

Inventory Number
VMR 1331

Bibliography and Sources

Literature

Arnaud, F. et Pajor, F. (2008). Couleurs et lumières, de Melbourne à Fribourg. L’église Saint-Pierre à Fribourg (Patrimoine fribourgeois), (18), 54-62.

Castella, J.-E. (1938a, 8 octobre). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1938b, 1er décembre). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1939, 15 janvier). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1940a, 5 janvier). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1940b, 6 janvier). [Lettre au chanoine Zurkinden, Georges Corpataux et aux Conseillers de paroisse]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1940c, 14 décembre). [Lettre au chanoine Zurkinden]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1942a, 5 janvier). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1942b, 7 janvier). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. (1942c, 30 décembre). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. et Kirsch, V. (1938, 30 novembre). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Castella, J.-E. et Kirsch, A. (1941, 20 juin). [Lettre à Georges Corpataux]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Corpataux, G. et Jordan, J. (1938, 12 octobre). Rectorat de St-Pierre. Procès-verbaux. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Corpataux, G. et Jordan, J. (1941a, 12 novembre). Rectorat de St-Pierre. Procès-verbaux. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Corpataux, G. et Jordan, J. (1941b, 29 décembre). Rectorat de St-Pierre. Procès-verbaux. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Corpataux, G. et Jordan, J. (1942, 16 janvier). Rectorat de St-Pierre. Procès-verbaux. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Église de Saint-Pierre. (1943a, 18 janvier). La Liberté. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Fribourg. Les vitraux de Saint-Pierre. (1943b, 19 janvier). La Liberté, 6. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Jordan, J. (1943a, 9 août). [Lettre à l’Office cantonal du Travail]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Jordan, J. (1943b, 13 novembre). [Lettre à un Conseiller d’Etat]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Jobin et Rémy B.. (1943, 17 juin). [Lettre au Conseil paroissial de Saint-Pierre]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Jordan, J et Philipona, C. (1942a, 12 février). Rectorat de St-Pierre. Procès-verbaux. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Jordan, J et Philipona, C. (1942b, 21 avril). Rectorat de St-Pierre. Procès-verbaux. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

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Lauper, A. (2008a). La leçon de Romont. L’église Saint-Pierre à Fribourg (Patrimoine fribourgeois), (18), 10-22.

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Rudaz, P. (2008a). Un concours de circonstance pour un décor haut en couleur. L’église Saint-Pierre à Fribourg (Patrimoine fribourgeois), (18), 30-37.

Rudaz, P. (2008b). Un grand peintre trop encombrant ?. L’église Saint-Pierre à Fribourg (Patrimoine fribourgeois), (18), 38-43.

Sauterel, V. et Noverraz, C. (2020). Vitrail de la première moitié du XXe siècle : la couleur triomphante. Dans F. Giese (dir.), La redécouverte de la couleur [catalogue d'exposition] (p. 101-114). Berlin / Boston : Walter de Gruyter.

Schöpfer, H. (1994). Fribourg. Église paroissiale de Saint-Pierre. Inventaire du patrimoine religieux (IPR) [document inédit]. Vitrocentre Romont.

Severini, G. (1939, 19 août). [Lettre à Fernand Dumas]. Correspondance Severini-Dumas. Archives du Musée Charmey, Charmey.

Severini, G. (1940, 28 avril). [Copie d’un extrait de lettre à Jean-Edouard de Castella]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Thévoz, G. (1938, 28 novembre). [Lettre au Conseil paroissial de Saint-Pierre]. Archives de la paroisse Saint-Pierre, Fribourg.

Voragine, J. (1902). Saint Barthelémy Dans La Légende dorée (traduit par J.-B. M. Roze, vol. 1, p. 481-494). Paris, France : Edouard Roueyre. https://www.bibliotheque-monastique.ch/bibliotheque/bibliotheque/voragine/index.htm

Voragine, J. (1902). Saint Matthieu. Dans La Légende dorée (traduit par J.-B. M. Roze, vol. 1, p. 77-82). Paris, France : Edouard Roueyre. https://www.bibliotheque-monastique.ch/bibliotheque/bibliotheque/voragine/index.htm

Waeber, L. et Schuwey, A. (1957). Eglises et chapelles du canton de Fribourg. Fribourg, Suisse : Saint-Paul.

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Photos numériques de travail, floues, VM 1330-1331-1332

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Date
2021
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VMR_1331
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Astrid Kaiser 2012; Valérie Sauterel 2024

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Linked Objects
Saint Matthieu (ensemble du vitrail)
Saint Matthieu (quatre épisodes de sa vie de haut en bas : sa vocation, le petit enfant au milieu des disciples, sa prédication au roi d’Ethiopie, il rédige son évangile)
Vocation de saint Matthieu (première scène depuis le haut du vitrail de saint Matthieu)
Saint Barthélemy (ensemble du vitrail)
Saint Barthélemy (quatre épisodes de sa vie de haut en bas : la multiplication des poissons, le baptême du roi de Grande Arménie Polimius après la guérison de sa fille lunatique, sa flagellation sur ordre du roi Astyage, translation de ses os de l’île de Lipard à Bénévent après qu’un moine eut rassemblé ses os dispersés par les envahisseurs Sarrasins)